Rafla Ben Arous ,une entrepreneure qui offre du temps .

Il faut confronter le rêve à la réalité pour réussir sur le chemin tortueux et non sans obstacle de l’entreprenariat. Alors quand une entrepreneure, Rafla Ben Arous, fondatrice des Carnets d’Hedi a décidé de se lancer dans l’aventure entrepreneuriale, elle s’est jurée d’adopter une charte qui se résume ainsi : « valoriser, faire adopter une communication vertueuse, s’engager pour les créateurs ». Après des études à la Sorbonne, puis à l’EHESS et enfin en Sciences politiques, Rafla s’est d’abord dirigée vers une carrière à l’Assemblée nationale, puis dans différents postes à responsabilités au sein des collectivités territoriales, qui lui ont permis de se spécialiser en communication publique et politique. Militante associative, elle a toujours rêvé de devenir gendarme réserviste, c’est chose faite, elle officie en tant que formatrice auprès des jeunes recrues.

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Alors comment ce désir d’entreprendre est-il né ?

Les Carnets d’Hedi sont nés d’un rêve mais également d’une volonté de ma part de plus d’indépendance, de créer ma propre valeur. En côtoyant, dans le cadre de mes différents engagements beaucoup d’entrepreneures et d’entrepreneurs, j’ai eu l’idée de leur offrir du temps en gérant ce que j’ai toujours su faire et aimer faire, leur entière communication.

Pouvez-vous nous retracer le parcours de cette aventure ?

Je viens d’une famille qui aime le dessin, l’Art, la culture sous toutes ses formes. J’écris beaucoup. Grande curieuse, j’aime apprendre, plus que tout comprendre le monde dans lequel nous évoluons. M’entourer de personnes singulières et authentiques est vital. Je suis très observatrice et tous ceux que je côtoie, se plaignent de manquer de temps, alors j’ai réfléchi à un concept pour permettre à tous ceux qui le souhaitent de « gagner du temps ». J’ai nommé ma start up, les Carnets d’Hedi, en souvenir de mon grand-père, un grand homme qui a toujours su entourer sa famille de bonté et d’amour.

Avez-vous été soutenue dans votre projet ?

J’ai beaucoup été entourée par mon fiancé, qui a tout de suite cru en moi. Au départ, j’ai eu peur d’en parler à ma mère. J’ai attendu que le projet soit bien avancé pour lui expliquer que sa fille avait besoin de sortir de sa zone de confort et de s’offrir un véritable challenge. Elle a finalement réagi de manière très encourageante et suit avec beaucoup d’intérêt l’évolution de mon aventure, tout comme le reste de ma famille.

Les Carnets d’Hedi ont-ils eu leurs premiers clients ?

OUI et ça continue. On nous contacte souvent via les réseaux sociaux parce que le concept plaît énormément et le bouche à oreille commence à faire son effet. Les Carnets d’Hedi proposent plusieurs services tels que : le community management, la création visuelle, la construction de site web, la stratégie de marque et les relations presse.

A suivre sur lescarnetsdhedi.com et sur la page Facebook Les Carnets d’Hedi.

 



Au pays des barbares /Fabrice David

Au pays des barbares ,(éditions Plon dans la collection Sang Neuf ) est le deuxième ouvrage de Fabrice David.

Dans ce thriller , vous ne trouverez ni agents , ni effets spéciaux .Le livre ne se déroule pas dans une grande mégalopole , les meurtriers ne sont pas de grandes pointures et pourtant ….

Au pays des barbares , c’est une plongée dans le  destin des gens « d’en bas », en toile de fond , le club amateur d’Awoise-Gelle dans les Ardennes . Chaque page est un   voyage déroutant  dans les méandres de ceux qui n’attendent rien de la vie et qui n’ont rien à perdre …On s’enfonce dans un univers repoussant , dégoulinant de misère affective et sociale .Vous n’en sortirez pas indemne , la plume de l’auteur contribuant à créer  un réalisme déroutant.

Fiche d’identité de l’auteur :

Journaliste pour TF1 depuis plus de vingt ans, il travaille notamment pour l’émission « Téléfoot ».Il a publié L ‘Homme gris en 2015, aux éditions Black -Out.

Questions à l’auteur :

Dans votre ouvrages , les  supporters aiment tellement leur club qu’ils sont capable de tout , comment vous est venue l’idée de ce roman  ?

Mes personnages sont inspirés d’observations lors des déplacements au fin fond de la province . J’ai  écumé tous les stades de France et de Navarre, voyagé dans des dizaines de bus de supporters, dormi dans des hôtels de zones industrielles et a beaucoup, beaucoup observé.

L’oisiveté mène au vice , qu’en pensez-vous  ?

L’oisiveté peut être considérée comme un vice mais pas forcément .Mais ce qui peut mener à la dérive de mes personnages c’est surtout l’amertume et la rancœur.1539180023611452355960



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